La Macro compte aussi pour les marchés actions
Les relocalisations et le retour de l’inflation marquent la fin d’une période d’exception : l’ère des taux zéro. Alors que les perspectives de rendement des actions restent solides, leur coût en termes de risque a durablement augmenté et la protection offerte par les obligations est plus aléatoire. Directionnellement, l’intérêt de la classe d’actifs a ainsi diminué.